La renaissance de Myrdhin.

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Pøupøu
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La renaissance de Myrdhin.

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Merlin hurla « En terre d’Avalon, La magie sera sauvé, Un jour, fut-ce-t-il dans mille ans, je reviendrais, et je rendrais à la Bretagne sa vraie nature, Entendez mes paroles fils et filles d’Adam et D’Eve.» et il ferma Avalon pour toujours.
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Re: La renaissance de Myrdhin.

Message non lu par christophe »

Fiou ca en fait de la lecture :)
En tout cas, bravo pour ton travail.
À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.
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Pøupøu
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Re: La renaissance de Myrdhin.

Message non lu par Pøupøu »

Merci :) je le fais pour le plaisir t'façon !
Merlin hurla « En terre d’Avalon, La magie sera sauvé, Un jour, fut-ce-t-il dans mille ans, je reviendrais, et je rendrais à la Bretagne sa vraie nature, Entendez mes paroles fils et filles d’Adam et D’Eve.» et il ferma Avalon pour toujours.
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Re: La renaissance de Myrdhin.

Message non lu par christophe »

Beuh,
Qu'est ce qu'il s'est passé ?
J'ai voulu le relire ...
À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.
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Fred13
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Re: La renaissance de Myrdhin.

Message non lu par Fred13 »

idem pour moi ! on dirait qu'il y a des problèmes de droits d'auteur.
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christophe
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Re: La renaissance de Myrdhin.

Message non lu par christophe »

Jl'ai retrouvé :
Pøupøu a écrit :Voila ma dernière création, mieux reussis que l'autre à mon gout... Bonne lecture
Avant même que les hommes ne foulent cette terre, avant même que ce pays ne connaisse la guerre par la folie d'un roi, ou par la croyance en un dieu unique, la Bretagne était mystérieuse, chaque créature avait un souffle de vie particulier, la magie était source de bonheur et de joie. Les légendes n'étaient que des vérités perverties par les humains. Aujourd'hui ceux-là même ont cru dompter la nature, avec leurs sciences exactes, leurs calculs sur l'univers, la technologie. Mais ils ont omis un insignifiant petit détail. Avalon...

Myrdhin était fils adoptif de riches commerçants sur Morlaix. Ce Breton au prénom des plus celtiques n’avait rien avoir avec ses parents. Ils n’étaient absolument pas Bretons, Brocéliande n’était qu’un grotesque conte de fée pour eux. C’est ainsi qu’en vain, ils essayèrent de lui apprendre le français, mais le jeune garçon s’obstinait à parler Breton. Chose très étrange puisque que ses parents adoptifs ne parlaient pas breton. De plus personne n’osait approcher ce jeune garçon, toujours fourré dans la nature, affichant un teint pale comme la mort, qui baragouinait un breton médiéval, totalement oublié de tous… Dans Morlaix, on le nommait l’enfant du diable. La peur de ces pauvres gens étaient compréhensible. Il fut envoyé à Diwan par ses parents adoptifs. Ses professeurs étaient subjugués de voir un enfant si jeune parler un breton que peu de celtes parlaient encore. Il passa toute son enfance là-bas étudiants, la nature et l’histoire de la Bretagne. Comme tout enfant normalement constitué, la jeunesse de Myrdhin passa en un instant, dans l’insouciance la plus totale, ne gardant que des bribes de souvenirs. Quelques altercations sur ses origines pendant la période dite ‘ critique’ de l’adolescence mais rien de (transcendant).
Aujourd’hui Myrdhin venait de fêter ses 21 ans, âge de la majorité chez les celtes. Il était devenu un jeune homme très séduisant. Il était de taille moyenne, plutôt maigre, les cheveux sombres, le teint pale, et le regard triste. Il étudiait la philosophie, et l’histoire de la Bretagne à la faculté de Rennes. Ce jour là, il travaillait sur le cycle arthurien, essayant de distinguer le vrai du faux. L’ouvrage qu’il lisait s’intitulait Perceval ou le Conte du Graal, écrit par Chrétien de Troyes. C’était un de ces livres qui relataient la formidable légende du Roi Arthur, mais ce livre était bien plus complet que les autres. Bien sur les Faunes et autres créatures mystérieuses de la terre de Bretagne avait soigneusement été oubliés, mais c’était l’un des seuls livres qui évoquait l'existence d’un druide nommé Emrys. Ce druide avait en effet vécu, mais après Arthur, bien après sa mort… Emrys n’était autre que celui que l'on connaît plus communément sous le nom de Merlin. Emrys avait eu beaucoup de noms. Ont lui attribuaient beaucoup de pouvoirs, et notamment celui d'avoir la capacité de remonter dans le temps, ce qui expliquerait sa présence au temps d’Arthur. Tout à coup Myrdhin arrêta net sa lecture sur les dernières lignes du chapitre Merlin le druide. Prit de stupeur, il relu plusieurs fois les quelques lignes qui séparaient se chapitre du suivant. Merlin (Myrdhin pour les celtes notamment Bretons) est généralement représenté comme un druide bénéfique commandant aux éléments naturels et aux animaux.
Comment avait-il pu faire pour ne pas s'en apercevoir, lui, le féru d'histoire celtique ?! Il portait le nom du grand druide d’autrefois. Cela tirait du mystère, il ne comprenait pas. Bien décidé à en apprendre davantage, il empoigna ses clefs de voiture et fonça jusqu'à sa 206. Il roula rapidement jusqu'à Morlaix pour discuter avec ses parents adoptifs. Il se gara proprement en bataille sur la chaussé d’en face, il traversa la rue sans se soucier des chauffards puis frappa trois coups à la porte. Attendant avec impatience, les secondes lui parurent des heures. Par le passé il s’était disputé avec ses parents adoptifs pour connaître la vérité sur ses origines sans succès, jusqu'à aujourd’hui… Enfin. Lentement la porte s’ouvrit. C’était sa mère. Après une brève accolade de quelques secondes, Myrdhin bombarda sa mère de questions sur ses origines. Elle le regarda gravement, prit une inspiration et entama son récit. « Le jours où nous t’avons trouvés, nous étions dans la Forêt de Brocéliande, tu étais enveloppés dans un nid de feuilles et de brindilles. N’ayant pas la possibilité d’avoir d’enfants, nous sommes tombés sous le coup de l’émotion la plus profonde de nos cœurs. A l’instant où j’ai posé la main sur toi, des voix venus de la foret murmurèrent à l’unisson Myrdhin. J’en ai conclu que c’était ton nom. Nous avons toujours gardés cette histoire secrète, même pour toi. Nous t’avons mentis sur beaucoup de choses, nous sommes Bretons, nous allions en Brocéliande prier, quand nous sommes tombés sur toi… »
-Je ne comprends pas, pourquoi ne pas m’avoir tout dit des le début ? Pourquoi tant de mystères ? Murmura-t-il
–Pour te préserver de ton destin Myrdhin, tu devais trouvez tes origines seuls. Répondit-elle calmement.
-Mais qui sont mes parents, d’où je viens, pourquoi tant de mystères ? répéta-t-il dans un seul souffle.
-Tu es Merlin, Myrdhin, au moment où la croyance du dieu unique se faisait la plus forte, Merlin a senti que son heure était venue, il s’était réfugié en Avalon avec toute l’essence de la magie même, toutes les créatures de cette terre l’ont suivis de peur d’être anéantis par les bons hommes et leur dieu unique... Avant de refermer les portes d’Avalon, Merlin hurla « En terre d’Avalon, La magie sera sauvé, Un jour, fut-ce-t-il dans mille ans, je reviendrais, et je rendrais à la Bretagne sa vraie nature, Entendez mes paroles fils et filles d’Adam et D’Eve, ce n’est pas votre terre. » et il ferma Avalon pour toujours.
-Je ne comprends pas toujours pas. Dit-il hésitant
-Pourtant c’est simple mon fils, tu es Merlin le druide, celui qui guérira la terre de Bretagne de notre époque actuelle ou la magie n’a plus sa place. Tu dois ouvrir les portes d’argent d’Avalon. Elfes, Korrigans, Trolls, Dryades, tous seront libérés d’Avalon, la magie s’imprégnera dans le cœur de chacun, La forêt de Brocéliande reprendra vie après quinze siècles d’attente. Souffla-t-elle d’un seul trait
-Mais si je suis Merlin, pourquoi n’ai-je aucun souvenir d’Avalon, je ne sais même pas comment faire pour délivrer ces pauvres êtres qui attendent mon aide depuis toujours. Balbutia-t-il en tremblant comme une feuille.
-Pour cela il te suffit de te rendre à l’endroit où se trouve la clef des portes d’Avalon. Tu dois te rendre à Landerneau, c’est là qu’est la réponse, mais presse toi Myrdhin, nul hasard que tu viennes me voir le jour de ta majorité chez les celtes, nul hasard que ton destin t’apparaisse ce jour là, tu dois le faire ce soir. Murmura-t-elle si faiblement que Myrdhin du tendre l’oreille
-Tout ce que tu dis me semble sorti d’un conte de fée, je vais me rendre à Landerneau car je suis curieux et qui sait peux être savoir d’où je viens vraiment. Termina-t-il


Il se leva avec beaucoup de peine, ça mère lui avait donné énormément à réfléchir, il devait se rendre à landerneau, mais pour trouver quoi ? C’était bien la son problème. Myrdhin regagna sa 206, cette conversation le tourmenta pendant tout le trajet, il essayait de trouver une toute petite logique à ce dialogue, mais rien… Cette fois ci, le trajet fut extrêmement rapide, il devait arriver avant la nuit à landerneau. ‘Landerneau’ cette ville sonnait bien dans sa tête, c’était comme une révélation, le sentiment très profond d’avoir un lien très étroit avec cette ville. Quand il fut enfin arriver au lieu de destination, il poussa un soupir de soulagement, il ne restait plus qu’a chercher la clef. C’est ainsi que le calvaire commença, il chercha partout. Sous le Pont de Rohan, près de L’église Saint-Houardon, devant la mairie. Il était désespéré de ne pas trouver cette maudite clef, mais très ému de découvrir la beauté de cette ville. Elle était d’un naturel très moyenâgeux, dans un style du XII siècles. Perdu dans la beauté de ce paysage historique, minuit allait bientôt sonné dans toute la ville. Il ne trouvait rien, pas le moindre indice, même pas l’ombre d’une minuscule piste. Il jura (En breton bien sur) et s’assis sur un banc de pierre, attendant les douze coups de minuits. Il poussa un dernier soupir avant l’heure fatidique, il n’ouvrirait jamais les portes d’Avalon, après tout il n’y avait pas cru, ça mère c’était sans aucun doute tromper, ce n’était qu’une simple coïncidence…

Les larmes aux yeux, la détresse dans le regard, Myrdhin entendait enfin les douze coups de minuits. Il leva les yeux au ciel en signe de détresse, la voie lactée était parfaite, pas un seul nuage. La lune elle-même semblait si proche de Landerneau. Tellement proche que cela semblait anormal. Il se releva pour mieux voir. Elle se rapprochait de lui. Quand il entendit ça propre voix lui chuchoter à l’oreille : « Tu dois décrocher la lune de Landerneau ». Il venait de comprendre. Tout semblait si simple en cet instant présent. La lune était la clef. Mais bien sur, la Lune, les portes d’Argents représentés à Brocéliande sur la Pierre de l’âge. La clef était en forme de Lune. Plus elle se rapprochait de lui plus elle rétrécissait. Quand elle arriva enfin à sa hauteur, Myrdhin n’eut qu’à tendre les doigts, puis s’empara de la clef d’Avalon. Aussitôt le ciel sombra dans la pénombre de la nuit. Au creux de son poing, Myrdhin tenait la lune.

Elle ne brillait plus du tout, sur son contour était écris en druidique « Rend toi en Brocéliande les portes d’argent sont dans la pierre de l’âge » Myrdhin devait rejoindre la forêt de Brocéliande en toute hâte. Il regagna sa voiture comme une furie, Brocéliande était à trente kilomètres de Rennes. Se trouvant à Landerneau, le calcul était vite fait, il en avait pour deux heures de route en poussant le moteur de sa 206 à fond. Pendant tout le trajet ses pensées était focalisé sur la suite de son aventure, tout semblait trop simple, beaucoup trop facile à son gout. S’imaginent les pires scénarios pour la suite, il continuait avec empressement de se rapprocher de Brocéliande. Il n’avait qu’une idée en tête ouvrir les portes d’Avalon. Pour la première fois de la journée Myrdhin vint à réaliser qu’il avait faim et surtout très soif, ne s’étend accommoder que d’un thé et de quelques gâteaux sec chez sa mère. Son ventre gargouillait, hélas il n’était pas question pour Myrdhin de faire une escale pour manger un morceau. Il était deux heures et demie du matin quand enfin il arriva à destination, la foret de Brocéliande. Avec une énergie renouvelée, sans doute galvanisé par l’endroit, il s’engouffra dans la foret. Ce n’était pas une mince affaire que de se frayer un chemin parmi les ronces et les racines des arbres qui semblaient vouloir le ralentir… Soudain il entendit un rire étouffer derrière lui, puis des chuchotements. Il se retourna en trombe, personne. Quand il aperçu le Rocher des âges. Il poussa un soupir de soulagement, franchi les derniers mètres qu’il lui restait à parcourir et se retrouva devant l’écueil…



Pendant plusieurs instants, il resta là, à contempler le plus vieux rocher du monde. Long de deux pieds de haut, il était recouvert d’une mousse verte assez épaisse. Il se décida à poser la main dessus, le rocher vibra de tout son être. Myrdhin prit peur et tomba à la renverse. Se relevant péniblement, il sortit la clef de sa besace, puis la fit glisser sur la paroi du rocher, qui vibra de plus en plus fort. Il arracha toute la mousse verte sur le dessus de la roche. Puis chercha un quelconque trou qui ferait office de serrure. Tombant sur une sorte de cratère, il emboita la petite pierre dans la grande. Aucune réaction, déçu, il essaya de l’enlever du trou, mais la pierre ne voulait plus rendre la clef. Myrdhin tira dessus, puis poussa, un petit clic résonna dans la forêt. La seconde d’après il n’était plus dans Brocéliande. Il était devant un vieil homme. Cet homme lui ressemblait beaucoup avec quelques rides et une barbe blanche en plus. Ils restèrent un moment à se regarder…



Myrdhin entama la conversation timidement.
-Vous-êtes merlin, n’est-ce pas ? Ou sommes nous ? dit-il timidement.
-Tu es en Avalon Myrdhin, je suis en effet Merlin au même titre que toi. Souffla-t-il mystérieusement.
Myrdhin regarda tout autour de lui. Il suffoquait de plaisir, il n’avait jamais vu pareil beauté, il était ému, les larmes coulaient toutes seules sur son visage. Ce paysage était merveilleux, le ciel d’un bleu turquoise, la flore de ce paradis était un vrai miracle, les fleurs aux senteurs et aux couleurs inimaginables. Préservé de la main humaine, cet endroit était d’une rare beauté, d’un esprit pur, aucun humain n’avait foulé ces terres de rêves et c’était sans doute la raison de cette splendeur. Mais le plus fantastique, était la magie portée par un vent d’Est puissant, elle imprégnait le cœur de chacun en Avalon. Elfes, fées, korrigans, troll, faunes et toutes les créatures de ce monde chantaient, dansaient et surtout riaient ensemble, Tous était en harmonie avec la nature et eux même.

Après s’être régalé les yeux, Myrdhin se retourna vers Merlin.
-Et, maintenant c’est la fin, n’est-ce pas ? Demanda-t-il.
Le vieil homme semblait perdu dans ses pensées, ces yeux étaient emplis de tristesse.
-Pas tout à fait Myrdhin. Ta renaissance dans le monde des humains n’est pas le fruit du hasard, je l’ai provoqué grâce à la magie qui imprègne Avalon. Je t’ai menti Myrdhin, il n’existe aucun moyen d’ouvrir les portes d’Avalon. Quand j’ai refermé les portes d’argent en maudissant les hommes, j’ai commis une erreur dans mon sortilège, je suis profondément désolé…
-Mais alors pourquoi m’avoir fait venir jusqu’ici ? s’écria-t-il.
-Je suis mourant Myrdhin, ma haine pour la folie des hommes m’a condamné, sans gardien pour Avalon, tous disparaitrons, cette terre s’effacera à jamais de toutes les mémoires. La magie s’effacera du monde, cela ne se peut. Tu dois accepter de protéger, de veiller sur ce peuple. Murmura-t-il
-Mais si les portes sont fermées, comment ai-je pu venir jusqu’ici ? Articula-t-il difficilement.
-Parce ce que tu n’es pas comme les autres, tu es Merlin, nous sommes la même personne, c’est moi qui est scellés les portes d’argent, il était donc normal que tu puisses les franchir, heureusement car sans cela Avalon était perdue. Expliqua-t-il
-Si j’accepte d’être le gardien de ces lieux, quelles sont les conditions ?
-Tu devras veiller éternellement sur Avalon, une vie de Sacrifice pour que vive la magie, pour que vive les fées, les elfes, les korrigans et tout ce qui sont et qui resteront en ce lieux pour toujours. En contre partie tu ne pourras plus jamais quitter cet endroit, mais si tu veux, le Chaudron de vie (Saint Graal) de permettra de communiquer en Brocéliande avec les humains. Souffla-t-il
-J’accepte. Confirma-t-il en tremblant

Juste après que Myrdhin eu accepté, Merlin céda tout ses pouvoirs à Myrdhin et mourut dans l’instant. Il n’y eu pas de larmes ce jours là en Avalon, tous rirent, chantèrent, de bons cœurs, leur monde était sauvé. Myrdhin quand à lui, leva les yeux au ciel, préservé de la folie des hommes, il était désormais le gardien d’Avalon…



L'essence même de la Bretagne est toujours là, en nous, conteurs et bretons, qui nous acharnons jours après jours as narrés nos légendes celtes, et à faire perdurer le mystère sur cette terre qui nous fascines tous, la Bretagne.
À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.
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